Mon parcours

Mon parcours

Comment expliquer mon parcours ?

Pour solliciter et ensuite remplir la fonction de Président de la République il faut y être préparé. Il me semble important d’expliquer comment se sont construites mes compétences.

Mon parcours assemble une suite d’aventures humaines qui m’ont permis de traverser des mondes et des territoires variées.

Classiquement, la plus part des hommes politiques professionnels se forment pas le « haut ». Ils vivent et évoluent dans un milieu protégé ou les règles sont différentes de celles du commun des mortels. Ils fréquentent les mêmes écoles, ENA ou science po, entrent dans la fonction publique. Ils font ensuite leurs classes dans un parti politique et dans les ministères.

Pour ma part, j’ai bâtis mes connaissances par le bas en montant des projets divers et innovants, créant des associations ou des entreprises et en me formant en permanence.

Les Dons et le Travail

La nature accorde à chacun des dons qu’il faut découvrir et valoriser par le travail. Certains sont musiciens comme Mozart ou Beethoven, Peintre comme Picasso ou Raphael, écrivains comme Victor Hugo ou Cervantès, hommes d’affaires comme Jacques Cœur ou Rockefeller, athlètes comme Usain Bolt ou Colette Besson etc… Réussir sa vie c’est souvent la mettre en adéquation avec ses dons. Elle m’a fait un cadeau un peu particulier, la capacité d’anticiper l’avenir et donc la possibilité d’innover dans un domaine particulier celui du développement humain et des territoires. Cela m’a valu des problèmes récurrents avec les institutions et certains hommes politiques.

Valoriser mes facilités naturelles n’a pas été facile. Voir avec un temps d’avance sur les usages vous placent en permanence en bute aux immobilismes en tout genre. Je ne me suis jamais découragé. J’ai connu de belles réussites mais j’ai aussi rencontré plusieurs fois l’échec.

En quelques mots, j’ai exploré de grands gouffres, obtenu un master à 56 ans, milité dans de nombreuses associations, créé une entreprise, reçu deux trophées professionnels, collaboré avec des grandes agences mondiales, voyagé aux quatre coins du monde, exercé de nombreux métiers, connu le chômage et le RSA, fait flotter le drapeau olympique sur la France en créant les troisième jeux olympiques… Je suis même devenu un sujet de thèse et d’articles scientifiques. Cette trajectoire m’a permis de faire de nombreuses rencontres humaines qui me donnent aujourd’hui un vaste réseau d’amitié.

Légitimité et Anticipation

Dans la continuité de mon parcours de vie et professionnel, j’ai autant de légitimité, de connaissances et de compétences que les professionnels de la politique.

La France a aujourd’hui besoin d’une profonde refondation mais cela ne se fera pas uniquement avec des textes et des règlements. Il faut aussi savoir ce qui se passent dans les cœurs et les têtes. J’ai vécu les mêmes difficultés que les français. C’est indispensable pour pouvoir comprendre leurs craintes de l’inconnu et leurs peurs.  Cela sera un atout quand il faudra leurs expliquer des choix qui pourront parfois être difficiles. Cela ne s’apprend pas à l’ENA, dans les ministères et un monde coupé des réalités quotidiennes.

Le projet Présidentiel que je porte est l’aboutissement de 60 ans de maturation humaine et professionnelle. Il propose une méthodologie originale qui assemble plusieurs concepts et expériences. Il anticipe plusieurs choses comme ce que j’appelle « l’écobigbang » la prochaine grande crise économique mondiale qui frappera durement toutes les nations. Je propose des actions pour préparer la France à ce choc.

Si les idées que je porte sur l’instauration d’une « Démocratie Implicative » ne sont  pas comprises aujourd’hui, l’avenir me donnera raison.

En avril 1998, j’ai rédigé un dossier universitaire pour répondre à la question : Quelles solutions pour le chômage ?

« De l’équilibre économique à l’humanisme équilibré.

Vaincre le chômage par une réforme globale de la société ».

Le diagnostic et les propositions qu’il contient reste valide aujourd’hui.

« Gouverner c’est prévoir »  Emile de Girardin

« Ne pas prévoir c’est déjà gémir » Léonard de Vinci